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Message par crodan00 Mar 13 Nov - 7:23

La faune
Les cerfs, chevreuils et sangliers recherchent souvent la tranquillité des forêts. On rencontre assez fréquemment des animaux sédentaires comme les chevreuils ou les sangliers. Le cerf a besoin d'espaces plus vastes sauf au moment du brame. Les biches comme les cerfs aiment les endroits calmes : les biches pour mettre bas et les cerfs pour se débarrasser et refaire leurs bois.

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La Sologne est également le refuge de nombreux autres animaux carnivores, canidés et mustélidés comme les renards, martres, fouines, belettes, hermines, putois. Parmi les lagomorphes, le Lapin de garenne, symbole de la chasse populaire en Sologne est maintenant limité du fait de la myxomatose.

lLa sologne Faune110
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Message par crodan00 Jeu 15 Nov - 7:43

La flore

La forêt couvre les 3/4 du pays solognot. Elle est constituée de plusieurs grands types forestiers : la chênaie-charmaie, la plus rare mais surtout la plus diversifiée, la vallée de la Sauldre, les forêts domaniales, les vastes propriétés forestières. On y rencontre les chênes pédonculés et sessiles, le charme, l'érable champêtre, le sycomore, le noisetier, le bouleau, le pin sylvestre (ce dernier ayant remplacé le pin maritime détruit par l'hiver 1879), le sapin de Douglas, quelques hêtres, trembles et frênes. Au printemps, grâce à leur floraison, on distingue des fruitiers sauvages tels que : poiriers, pommiers, alisiers ou merisiers.

En sous-bois c'est aussi un festival de fleurs : différentes espèces de primevères, dont la plus connue est le coucou, sont présentes : des tapis bleus formés de petites pervenches, de jacinthes des bois à clochettes violacées, de violettes des bois.

lLa sologne Flore110

lLa sologne Flore510

Certaines plantes, notamment les bruyères et les genêts s'installent sur les landes.
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Message par crodan00 Ven 16 Nov - 7:38

Les étangs

La nature et l'imperméabilité du sol de la Sologne expliquent la présence de nombreux étangs (environ 3 200 qui représentent 11 500 hectares d'eau). Ils sont, pour la plupart, artificiels, car visant au développement de la pisciculture, de la reconstruction au lendemain de la guerre de Cent Ans à la "rénovation", sous Napoléon III, de cette région marécageuse. Ils sont particulièrement concentrés près de Fontaines-en-Sologne et autour de Saint-Viâtre, cette dernière zone étant appelée la Sologne des étangs. Les plus importants dépassent 50 hectares (une dizaine dans ce cas). Le plus grand et le plus visité est l'étang du Puits, situé à environ 60 km au sud-est d'Orléans, d'une superficie de près de 180 hectares, établi à la fin des années 1860 comme réservoir destiné à alimenter le canal de la Sauldre. Tous ces étangs ne datent pas du Moyen Âge, pourtant, c'est bien à cette époque que la plupart furent créés afin de faire disparaître les vastes marais qui s'étaient formés à la suite des déboisements intensifs. Aujourd'hui, ces étangs entretenus, mais sauvages, constituent des milieux naturels pour la faune et la flore.
lLa sologne Etang10

lLa sologne Etang_10


La pêche en étang, en automne, est l'une des plus anciennes traditions de Sologne.
.
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Message par crodan00 Sam 17 Nov - 7:50

La Sologne est une région forestière de France, située au sud de la Loire, au nord du Berry, à l'est de la Touraine. Le gentilé de la Sologne est Solognot.


Géographie

C'est une région naturelle française située dans la région administrative du Centre. Elle s'étend au sud de la Loire sur l'Orléanais et le Blésois. Elle englobe une partie du Loiret et du Loir-et-Cher, ainsi qu'une petite partie du Cher. Elle s'étend sur près de 500 000 hectares.
Elle a longtemps été une des régions les plus pauvres de France.
Surtout connue pour ses étangs (sur 12 000 hectares, soit 2 % de son territoire) et ses forêts, notamment décrits dans Raboliot (Maurice Genevoix). Elle a une forte tradition de pêche (halieutique) et de chasse, très souvent privées.


lLa sologne Carte10


Célébrée par Genevoix, Alain Fournier... la Sologne mérite pourtant qu'on s'y attarde car, en dépit des apparences, elle offre bien des possibilités pour découvrir une nature riche et très diversifiée, sans pour autant fouler la moindre parcelle de propriété privée. La découverte de ce patrimoine exceptionnel est possible grâce aux nombreux chemins balisés (plus de 1500 km), aux petites routes agréables qui se faufilent à travers les forêts et les landes, le long des étangs, traversant des villages pittoresques, aux églises anciennes dont certaines conservent la particularité d'un porche dit "à caquetoir"... La Sologne ne compte pas moins de quatre cents châteaux ! Parmi les plus beaux ouverts à la visite : Chambord, Cheverny, Le Moulin...

La Sologne fut mise en valeur sous le règne de Napoléon III qui, ayant acquis le domaine de Lamotte-Beuvron, y donna un remarquable exemple des améliorations. Des pins sylvestres et des bouleaux furent plantés, des canaux creusés, des routes construites, les marais supprimés, (on créa des étangs), les terres amendées... c'est ainsi que, jadis dévastée par les fièvres engendrées par les eaux mortes, la Sologne prit peu à peu son aspect actuel.

De par son couvert forestier, la tranquillité et la présence des étangs, cette région attire une faune très variée, dont la régulation par la chasse est essentielle pour préserver la forêt des prédations des grands cervidés, chevreuils, sangliers, lapins...

Bien que sauvage, cette région demeure à la merci de l'homme et si elle est bien préservée, au grand bénéfice des promeneurs, c'est parce que les habitants de la Sologne font tout pour la protéger.


Histoire

Les noms de nombreux villages de Sologne indiquent une origine gauloise et les nombreux tumuli découverts montrent que la Sologne était peuplée à l'âge du fer. Les principaux cours d'eau portent des noms d'origine celtique : Cosson, Beuvron (« rivière des castors »), Tharonne rivière rapide. La partie supérieure de la Sauldre, puis du Beuvron, constituait la frontière entre la Gaule des Carnutes (lyonnaise) et celle des Bituriges (Aquitaine).

La guerre de Cent Ans n'épargne pas la Sologne : Romorantin est prise par le Prince Noir. Jeanne d'Arc traverse de long en large la région. À la fin de cette guerre, la remise en état de la région s'accompagne d'une modification du paysage avec la création de nombreux étangs, la pisciculture étant plus rentable que l'agriculture.

À la fin du XVe siècle, le roi et sa cour vont y séjourner séjourner. Louis XII s'installe à Romorantin. François Ier y rencontre Claude de France qu’il épouse ensuite. La Sologne connaît alors une relative prospérité.

Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles les marécages reprennent le dessus et la région s'enfonce dans la misère. Les solognots suivront de très loin les soubresauts de la Révolution. La réforme administrative partage la Sologne entre trois départements : Loir-et-Cher, Loiret et Cher, personne ne cherchant à se disputer un territoire aussi pauvre.


Tourisme

Le Domaine du Ciran à Ménestreau-en-Villette, parc naturel
Aubigny-sur-Nère, charmante petite cité solognote avec ses maisons à pans de bois et son château écossais.
L'Étang du Puits, base nautique entre Argent-sur-Sauldre et Cerdon-du-Loiret.
Brinon-sur-Sauldre, le village qui inspira Maurice Genevoix pour écrire Rabolliot.
La maison du cerf à Villeny.
La maison des étangs à Saint-Viâtre.
Le musée de l'artisanat rural ancien de Tigy.
La maison du braconnage à Chaon.
Le musée de Sologne à Romorantin.
Le musée archéologique à Vienne-en-Val.
Les châteaux : Ferté-Saint-Aubin, château de Chambord, Château de Cheverny, Château du Moulin.
L'étang de Beaumont et son observatoire ornithologique à Neung-sur-Beuvron.


lLa sologne Sologn10
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Message par crodan00 Lun 19 Nov - 6:13

Grands écrivains de Sologne


lLa sologne 9872810

Maurice Genevoix

Maurice Genevoix, né le 29 novembre 1890 à Decize (Nièvre) et mort le 8 septembre 1980 à Xabia (province d'Alicante, Espagne), est un écrivain français.

Après avoir été élève du lycée Pothier à Orléans, il est admis à l'École normale supérieure.

Maurice Genevoix est mobilisé lors de la Première Guerre mondiale en 1914. Il est grièvement blessé le 25 avril 1915 aux Éparges (Meuse). Son témoignage de soldat, scrupuleusement relaté dans Ceux de 14, est un document précieux sur la vie des poilus. Le récit de Maurice Genevoix, écrit avec des mots rigoureusement justes, doit son impression de vérité au fait qu'il fut rédigé à partir des notes prises durant l'événement.

Il célébra dans le reste de son œuvre les paysages, la faune et les habitants de sa Loire natale. Il écrivit aussi des récits de voyage au Canada (notamment dans la région des Montagnes Rocheuses) et en Afrique. Son domicile de Saint-Denis-de-l'Hôtel, les Vernelles, reste une demeure familiale. Non loin de là, à coté de l'église, une vieille maison vigneronne a été transformée en musée.

Il fut élu membre de l'Académie française en 1946, et fit partie des premiers comités de la Société des Poètes et Artistes de France (la SPAF) à la fin des années 1950 et au début des années 1960.
echercher


Œuvres

Sous Verdun (1916) Flammarion
Nuits de guerre (1917) Flammarion
Au seuil des guitounes (1918) Flammarion
La Boue (1921) Flammarion
Les Éparges (1923) Flammarion (Les cinq volumes de ces récits de guerre ont été réédités sous le titre Ceux de 14 en 1950 par Flammarion avec la dédicace suivante : « À mes camarades du 106, en fidélité, à la mémoire des morts et au passé des survivants. » Réédité dans la collection Points Romans par Le Seuil.)
Jeanne Robelin (1920) Flammarion
Rémi des Rauches (1922) Garnier-Flammarion (Réédité en 1993 par Flammarion)
La Joie (1924) Flammarion
Vaincre à Olympie (1924) Plon
Raboliot (1925) Grasset (Prix Goncourt)
La Boîte à Pêche (1926) Grasset
Les Mains vides (1928) Grasset-Seuil
Cyrille (1929) Flammarion (Réédité sous le titre La maison du Mesnil par Le Seuil)
L'Assassin (1930) Flammarion
Gai l'amour (1932) Flammarion réuni sous le titre Deux fauves (1973) - Plon
H.O.E. (1931) Édition Les Etincelles
Rroû (1931) Flammarion
Forêt voisine (1933) Flammarion
Marcheloup (1934) Flammarion
Tête baissée (1935) Flammarion
Bernard (1938) Flammarion (Réunis sous le titre Marcheloup, un homme et sa vie en 1992 par Christian de Bartillat)
Le Jardin dans l'île (1936) Plon
La Dernière Harde (1938) Flammarion (Réédité en 1988 par Garnier-Flammarion)
Les Compagnons de l'Aubépin (1938) Flammarion
L'Hirondelle qui fit le printemps (1941) Flammarion
La Framboise et Bellehumeur (1942) Flammarion
Canada (1943) Flammarion
Eva Charlebois (1944) Flammarion (Réunis sous le titre Je verrai si tu veux les pays de la neige en 1980 par Flammarion)
Sanglar (1946) Plon (Réédité sous le titre La Motte rouge en 1979 par Le Seuil)
L'Écureuil du Bois-Bourru (1947) Flammarion
Afrique blanche, Afrique noire (1949) Flammarion
L'Aventure est en nous (1952) Flammarion
Fatou Cissé (1954) Flammarion
Vlaminck (1954) Flammarion
Le Roman de Renard (1958) Plon (Réédité en 1991 par Garnier-Flammarion)
Route de l'aventure (1959) Plon
Mon ami l'écureuil (1959) Bias
Au Cadran de mon clocher (1960) Plon
Jeux de glaces (1961) Wesmael-Charlier
Les Deux Lutins (1961) Casterman
La Loire, Agnès et les garçons (1962) Plon
Derrière les collines (1963) Plon
Beau François (1965) Plon
Caillard (1965) Bibliothèque des Arts
La Forêt perdue (1967) Plon
Images pour un jardin sans murs (1967) Plon (Réédité en 1968 sous le titre Le Jardin dans l'île, Jardin sans murs par Plon)
Tendre bestiaire (1969) Plon
Bestiaire enchanté (1969) Plon
Bestiaire sans oubli (1971) Plon (Ces trois bestiaires ont été réunis par Plon en 1972 dans une édition illustrés par l'auteur)
La Grèce de Caramanlis (1972) Plon
La Mort de près (1972) Plon
La Perpétuité (1974) Julliard
Un jour (1976) Seuil
Loreleï (1978) Seuil
Trente mille jours (1980) Seuil. Autobiographie.
L'Enfant et le château (1980) Ed. d'Art J.Danon
La Chèvre aux loups (1996, publié à titre posthume) Gautier-Languereau. Ce roman fait partie de la listedes œuvres de littérature de jeunesse officiellement recommandées par le Ministère de l'Éducation Nationale, dans la catégorie Romans et Récits illustrés.
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Message par crodan00 Mar 20 Nov - 5:37

Eugène Labiche

Portrait d'Eugène Labiche par Marcellin DesboutinEugène Labiche (Paris, 6 mai 1815 - 22 janvier 1888) est un auteur dramatique français, élu à l'Académie française en 1880.

lLa sologne Labich10

Eugène Labiche


Enfance et adolescence

Eugène Labiche est né à Paris le 6 mai 1815 dans une famille bourgeoise aisée. Son père, tout d’abord épicier en gros, est devenu industriel, en montant, puis en exploitant à Rueil, dans la banlieue ouest de Paris, une petite usine de fabrication de glucose.
Eugène fait des études de jeune homme de bonne famille : il suit les cours au Lycée Condorcet, qui s’appelle alors le collège Bourbon, et il obtient facilement son Baccalauréat de lettres à 18 ans, en 1833.
Il n’entame pas immédiatement des études supérieures. D’une part, le décès de sa mère cette année-là lui a procuré des revenus convenables, et d’autre part il est attiré par l’écriture littéraire.
L’année suivante, en 1834, son père l’autorise à faire un voyage en Italie avec quelques camarades. L'un d’entre eux, Alphonse Leveaux, sera un ami de toute une vie et comptera aussi plus tard parmi ses collaborateurs. Il adoptera le pseudonyme d'Alphonse Jolly pour éviter l'association Labiche/Leveaux.


L’âge adulte

Au retour du voyage, qui a duré plus de 6 mois, il entame des études de droit qu’il poursuivra jusqu’à la licence, tout en faisant publier dans de petits magazines de courtes nouvelles. Il rencontre ainsi Auguste Lefranc et Marc-Michel, avec lesquels il va fonder une association en vue de créer des pièces de théâtre ! Ils prennent le pseudonyme collectif de Paul Dandré.
A leur grande surprise, leurs pièces sont acceptées immédiatement et sans le moindre problème. Labiche confiera plus tard : « Je suis vraiment honteux de la simplicité de mon début. [....] Je n’ai eu qu’à tirer le cordon pour entrer. Il est possible que la parenté d'Auguste Lefranc avec Eugène Scribe (ils étaient cousins) ait beaucoup aidé les choses, sans même que Labiche s'en soit rendu compte.
Considérant sans doute la comédie comme un genre inférieur comparé au drame, ils favorisent plutôt ce genre dans leurs premières productions. Mais les succès mitigés de ces spectacles, et sans doute aussi leurs caractères gais et fantaisistes, vont les faire se tourner exclusivement vers la comédie et ses sous-types : vaudeville, farce, pochade, opéra-comique, revues, et leurs hybrides.
Labiche commence aussi à produire en dehors de l’association "Paul Dandré", mais presque toujours avec des collaborateurs. Sur les 174 pièces qu’il signera, il n’en écrira que 4 seul.
Un jeune homme pressé
Un garçon de chez Véry
Le Petit Voyage
29 degrés à l'ombre
Pour toutes ses autres pièces, il s’entourera d’une, de deux, voire de trois personnes. Au total, 46 collaborateurs différents furent associés à sa création théâtrale. Aujourd’hui encore, on ignore comment s’organisait le travail, et cette organisation variait sans doute selon chaque cas. Toujours est-il qu’aucun collaborateur n’a revendiqué par la suite la paternité, ni la propriété, d’une pièce, et Labiche a pu publier en 1878 son Théâtre complet en 10 volumes sans aucune contestation de l’une de ces 46 personnes.
Quand Edmond Gondinet publia à son tour son Théâtre Complet, il indiqua pour la pièce écrite en commun avec Labiche (Le plus heureux des trois): collaborateur Labiche, ce qui semble montrer qu’il n’y avait pas de hiérarchie définie dans ces travaux partagés.
Ces associations furent diverses, tant par leur durée (éphémère, épisodique ou régulière) que par la notoriété des collaborateurs. Ceux-ci pouvaient être soit d'obscurs littérateurs, dont le nom n’est resté dans l’histoire que par cette seule mention de collaborateur en première page d’une pièce, le reste, c’est-à-dire leur vie et leur œuvre, ayant totalement disparu de toutes les données écrites actuelles, soit des dramaturges prolifiques, tel Anicet-Bourgeois, titulaire de 200 pièces, soit enfin des écrivains prestigieux de l’époque, tels Émile Augier ou Ernest Legouvé, tous deux appartenant à l’Académie française plus de 20 ans avant Labiche.
Les méthodes de travail de Labiche furent raillées bien sûr, même si ces pratiques étaient communes à l’époque. Lors de sa candidature à l’Académie française, quelqu’un ne put s’empêcher de glisser que Labiche ne briguait pas un fauteuil de cette vénérable institution, mais un banc pour y asseoir tous ses collaborateurs !
Débutant en 1837, la production de Labiche fut tout d’abord modeste, 2 ou 3 pièces en moyenne par an, parfois aucune pour cause de voyages à l’étranger, en fait le rythme d’un jeune bourgeois dilettante, aimant l’écriture théâtrale, mais n’en ayant pas véritablement le besoin pour vivre. Mais, à partir de 1848, cette production s’accélère, puisqu’il fit jouer en moyenne près de 10 pièces par an jusqu’en 1859. Ensuite le rythme se ralentit progressivement.
Cette décroissance peut s’expliquer par les évènements vécus par Labiche. Il se marie le 25 avril 1842 avec une riche héritière de 18 ans, Adèle Hubert, il achète en 1853 le château de Launoy à Souvigny-en-Sologne, avec 900 hectares de terre qu’il exploite lui-même, a son seul enfant le 12 mars 1856, et enfin est élu maire de Souvigny en 1868. À cette occasion, il dira modestement qu’il a gagné cette élection, car il était le seul de la commune à posséder et à utiliser un mouchoir !
Il connaît alors son apogée. En 1864, sa comédie Le Point de mire est présentée en première à la Cour à Compiègne avant d'être jouée à Paris au Théâtre du Gymnase. Sa comédie-vaudeville La Grammaire sera également jouée à Compiègne. Le prince impérial et ses amis la joueront devant leurs parents.
Enfin arrive 1877, date de sa dernière pièce, La Clé. Labiche avait dit auparavant : « J’ai toujours pensé qu’il y avait quelque chose de plus difficile à faire jouer que la première pièce... C’est la dernière. Songez au vieil auteur démonétisé.... »


Vieillesse

Après le relatif échec de cette pièce, il prit la décision de ne plus écrire, et il s’y tint. Il avait alors 62 ans.
Il lui restait à vivre encore une dizaine d’années, ponctuées par de nombreuses reprises de ses pièces, certaines triomphales, et aussi par des joies et par des deuils :

élection à l’Académie française le 28 février 1880, succédant au fauteuil 15 à Ustazade Silvestre de Sacy, malgré l'indignation de Brunetière qui déplora "l'invasion des genres inférieurs", et le refus de Victor Hugo de voter pour lui.
mariage de son fils en 1882 et naissance de petit-fils en 1883 et 1884
décès de sa belle-fille en 1885
Il souffrit pendant plusieurs années de sérieux problèmes cardiaques, et le 22 janvier 1888, il en mourut à son domicile parisien, 67 rue Caumartin. Il avait 73 ans.
Ses obsèques eurent lieu au cimetière de Montmartre. Ludovic Halévy prononça son éloge funèbre au nom de la Société des auteurs, et Maître Edmond Rousse au nom de l’Académie française.
A l'Académie française, Henri Meilhac lui succéda au fauteuil 15.
Sa femme, Adèle, décèdera en 1914.


Détail de l'Œuvre théâtrale

1837
La Cuvette d’eau
1838
Monsieur de Coyllin ou L’Homme infiniment poli.
Le Capitaine d’Arcourt ou la Fée du Château.
L’Avocat Loubet
1839
La Clé des champs (son seul roman)
La Forge des Châtaigniers
La Peine du Talion
L’Article 960 ou La Donation

1840 Le Fin Mot
Bocquet père et fils ou le Chemin le plus long
Le Lierre et l'Ormeau
1842
Les Circonstances atténuantes
1843 L'Homme de paille
1844
Le Major Cravachon
Deux Papas très bien ou la Grammaire de Chicard

1845
Le Roi des Frontins
L'École buissonnière
L'Enfant de la maison

1846
Mademoiselle ma femme
Rocambolle le bateleur
Frisette
L'Inventeur de la poudre

1847
L'Avocat pédicure
La Chasse aux jobards
Un homme sanguin
L'Art de ne pas donner d'étrennes

1848
Un jeune homme pressé
Le Club champenois
Oscar XXVIII
Le Baromètre ou la Pluie et le Beau Temps
Une chaîne anglaise
À moitié chemin
Histoire de rire
Agénor le dangereux
Une tragédie chez M. Grassot
A bas la famille ou les Banquets

1849
Madame veuve Larifla
Les Manchettes d’un vilain
Un monsieur qui pose
Une dent sous Louis XV
Mon ours
Trompe-la-balle
Exposition des produits de la République
Rue de l'Homme-Armé, numéro 8 bis
Pour qui voterai-je ?

1850
Embrassons-nous, Folleville!
Traversin et Couverture
Un garçon de chez Véry
Le Sopha
La Fille bien gardée
Un bal en robe de chambre
Les Petits Moyens
Les Prétendus de Gimblette

1851
Une clarinette qui passe
La Femme qui perd ses jarretières
On demande des culottières
Mam'zelle fait ses dents
En manches de chemise
Un chapeau de paille d'Italie

1852
Maman Sabouleux
Un monsieur qui prend la mouche
Soufflez-moi dans l'œil
Les Suites d'un premier lit
Le Misanthrope et l'Auvergnat
Deux Gouttes d'eau
Piccolet
Edgar et sa bonne
Le Chevalier des dames
Mon Isménie.
Une charge de cavalerie.

1853
Un ami acharné
On dira des bêtises
Un notaire à marier
Un ut de poitrine
La Chasse aux corbeaux
Un feu de cheminée
Le Pompadour des Percherons

1854
Deux Profonds scélérats
Un mari qui prend du ventre
Espagnolas et Boyardinos
Les Marquises de la Fourchette
Ôtez votre fille, s'il vous plaît

1855
La Perle de la Canebière
Monsieur votre fille
Les Précieux

1856
Les Cheveux de ma femme
En pension chez son groom
Monsieur de Saint-Cadenas
La Fiancée du bon coin
Si jamais je te pince!...
Mesdames de Montenfriche
Un monsieur qui a brûlé une dame

1857
Le Bras d'Ernest
L'Affaire de la rue de Lourcine
La Dame aux jambes d'azur
Les Noces de Bouchencœur
Le Secrétaire de Madame
Un gendre en surveillance

1858
Je croque ma tante
Le Clou aux maris
L'Avare en gants jaunes
Deux Merles blancs
Madame est aux eaux
Le Grain de café
Le Calife de la rue Saint-Bon
En avant les Chinois !

1859
L'Avocat d'un grec
L'Amour, un fort volume, prix 3 F 50 c
L'École des Arthur
L'Omelette à la Follembuche
Le Baron de Fourchevif
Les Petites Mains
Voyage autour de ma marmite
Le Rouge-Gorge

1860
J'invite le colonel !
La Sensitive
Les Deux Timides
Le Voyage de Monsieur Perrichon
La Famille de l'horloger
Un gros mot

1861
J'ai compromis ma femme
Les Vivacités du capitaine Tic
L'Amour en sabots
Le Mystère de la rue Rousselet
La Poudre aux yeux

1862
La Station Champbaudet
Les Petits Oiseaux
Le Premier Pas
Les 37 sous de M. Montaudoin

1863
La Dame au petit chien
Permettez, Madame !...
Célimare le bien-aimé
La Commode de Victorine

1864
La Cagnotte
Moi
Un mari qui lance sa femme
Le Point de mire

1865
Premier Prix de piano
L'Homme qui manque le coche
La Bergère de la rue Monthabor
Le Voyage en Chine

1866
Un pied dans le crime
1867
Le Fils du brigadier
La Grammaire
La Main leste
Les Chemins de fer


1868
Le Papa du Prix d’Honneur
Le Corricolo
Le Roi d’Amatibou
Le Petit Voyage

1869
Le Dossier de Rosafol
Le Choix d'un gendre

1870
Le plus heureux des trois
Le Cachemire X.B.T.

1871
Le Livre bleu
L'Ennemie

1872
Il est de la police
La Mémoire d'Hortense
Doit-on le dire ?

1873
29 degrés à l'ombre
1874
Garanti dix ans
Brûlons Voltaire !
Madame est trop belle
La Pièce de Chambertin
Les Samedis de Madame

1875
Les Trente Millions de Gladiator
Un mouton à l'entresol
La Guigne

1876
Le Prix Martin
Le Roi dort
La Cigale chez les Fourmis

1877
La Clé
Pièces dont on ne connaît pas la date de composition
La Lettre chargée
l'Amour de l'art
Un coup de rasoir
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Message par Admin Mar 20 Nov - 16:15

lLa sologne Globe415 super crodan humm tu m'envoies les poissons pour ma cuisine mdr
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Message par crodan00 Mer 21 Nov - 6:29

Max Jacob est un poète, romancier, essayiste, épistolier et peintre français, né le 12 juillet 1876 à Quimper et mort le 5 mars 1944, prisonnier au camp de Drancy.

lLa sologne 300px-11

Max Jacob


Il passe toute sa jeunesse à Quimper, puis s'installe à Paris, où il fréquente notamment dans le quartier de Montmartre et se fait de nombreux amis dont Picasso qu'il rencontre en 1901, Braque, Matisse, Apollinaire et Modigliani. Juif de naissance, il se fait baptiser à l'âge de 40 ans, en 1915 avec Picasso comme témoin.
Après avoir vécu à Saint-Benoît-sur-Loire de 1921 à 1928 auprès de l'abbaye bénédictine, il y revient en 1936 pour s'y retirer définitivement et y mène une vie quasi-monastique.
C'est là qu'il est arrêté par la Gestapo d'Orléans le 24 février 1944, avant d'être déporté au Camp de Drancy, où il meurt d'épuisement deux semaines plus tard en dépit de diverses interventions pour le faire libérer, dont celles de Jean Cocteau et Sacha Guitry. Max Jacob comptait parmi ses nombreux amis Jean Moulin qui prendra le pseudonyme de Max dans ses activités de résistant. Son corps a été inhumé en 1949 à Saint-Benoît-sur-Loire. Sa tombe a été ornée d'un de ses portraits réalisé en 1935 par son ami René Iché.
Il est répertorié comme « Poète - Romancier - Essayiste - Peintre » à la Bibliothèque nationale. Il a aussi traduit des textes du catalan en français.



Œuvres

Portrait par ModiglianiLe Christ à Montparnasse
Saint-Matorel (1911)
La Côte (1911)
Œuvres burlesques et mystiques de Frère Matorel (1912)
Le Siège de Jérusalem‚ grande tentation céleste de Frère Matorel (1914)
Le Cornet à dés (1916) qui lui apporte la notoriété
Le Phanérogame (1918)
La Défense de Tartufe (1919)
Cinématoma (1920)
Le Laboratoire central (1921)
Le Roi de Béotie (1921)
Le Cabinet noir (1922)
Art Poétique (1922)
Filibuth ou la Montre en or (1923)
Le Terrain Bouchaballe (1923)
Visions infernales (1924)
L'Homme de chair et l'Homme reflet (1924)
Les Pénitents en maillots roses (1925)
Le Fond de l'eau (1927)
Le Tableau de la Bourgeoisie (1929)
Rivage (1931)
Bourgeois de France et d'ailleurs (1932)
Ballades (1938)


Publications

En plus de son nom d'état civil, Max Jacob a utilisé les pseudonymes suivants, répertoriés par la Bibliothèque nationale de France :
Léon David
Morven le Gaëlique


1986 : Le Terrain Bouchaballe Max Jacob [Toulouse, Théâtre Daniel Sorano, 15 avril 1986] suivi de deux inédits : Paris province et le Journal de modes ou les ressources de Florimond : farce en un acte de Max Jacob ; et de La Tarentelle rouge pièce en un acte de Salvatore Cuffaro, L'Avant-scène, Coll. «Théâtre» n° 798, Paris, 80 p. (Sans ISBN)
1953 : Correspondance : 1 : Quimper-Paris : 1876-1921, Ed. de Paris, Paris, 229 p.
1985 : Lettres à Michel Manoll Max Jacob ; préf. de Michel Manoll ; texte établi et annoté par Maria Green, Rougerie, Mortemart, 1985, 163p. (Sans ISBN)
1964 : La défense de Tartufe : extases, remords, visions, prières, poèmes et méditations d'un Juif converti, nouv.éd. introd. et notes par André Blanchet, Gallimard, Paris, 299p.
Note : Il en existe une première éd. de 1919, éd. Société littéraire de France, 213p.
1949 ! Mendiantes professionnelles ; (suivi de) Jalousies, préf. de Georges Auric ; dessins de Max Jacob et Jacques Audiberti, sans indication d'édition, 16p. Notice BNF n°FRBNF39774384
1936 : Saint Matorel, Le siège de Jérusalem, Les œuvres burlesques et mystiques de frère Matorel, Gallimard, Paris, 300p.
1928 : Visions des souffrances et de la mort de Jésus Fils de Dieu : quarante dessins de Max Jacob, avec un portrait de l'auteur par lui-même, éd. Aux Quatre Chemins, Paris.
Note : éd. limitée à 279 exemplaires.
1928 : article «Deux lettres et un commentaire», dans la Revue hebdomadaire du 11 août 1928, p.213-218.
1928 : article «Max Jacob ou le poète de Saint-Benoît-sur-Loire. Textes et dessins inédits de Max Jacob - hommage de Saint Pol Roux - Vers et proses de Marcel Abraham, Jean Casson, Jean Cocteau...», dans la revue Le Mail, n °5, avril 1928, p.221-272.
1923 : Filibuth, ou la Montre en or, Ed. de la N. R. F., Paris, 268 p. (4e éd.)
1922 : article «Poèmes burlesques», dans la revue des feuilles libres n°28 Août-Septembre 1922, p.245-249
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Message par crodan00 Jeu 22 Nov - 7:00

Alain-Fournier, pseudonyme d'Henri Alban Fournier (3 octobre 1886 - 22 septembre 1914), était un écrivain français mort à l'âge de vingt-sept ans après avoir écrit un unique roman, le Grand Meaulnes.


lLa sologne Fourni10

Alain-Fournier


Il naquit le 3 octobre 1886 à La Chapelle-d'Angillon dans le Cher et passa son enfance en Sologne et en Bas-Berry où ses parents étaient instituteurs. Il poursuivit des études secondaires au lycée Lakanal, à Sceaux près de Paris, où il prépara sans succès le concours d'entrée à l'École normale supérieure mais se lia d'amitié avec Jacques Rivière qui épousa sa jeune sœur, Isabelle, en 1909.
C'est en juin 1905, au cours d'une brève promenade sur les quais de la Seine, qu'il rencontra Yvonne de Quiévrecourt, qui fut le premier grand amour de sa vie, et dont il s'inspira pour composer le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il ne la retrouva que huit ans plus tard mariée et mère de deux enfants.
En 1957, Pauline Benda — au théâtre « Madame Simone » — révèla la liaison qu'elle avait eue avec l'écrivain lorsque celui-ci était secrétaire de son mari Claude Casimir-Périer.Leur correspondance a été publiée en 1992.
Il partit en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment d'infanterie. On porta Fournier disparu au cours des combats des Éparges, près de Verdun, le 22 septembre 1914, dans les premiers affrontements de la Première Guerre mondiale. Cette disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et identifié dans une fosse commune allemande en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne. Il fut inhumé dans le cimetière militaire de Saint-Rémy-la-Calonne laissant derrière lui l'un des grands classiques de la littérature.
Son nom figure sur les murs du Panthéon de Paris dans la liste des écrivains morts au champ d'honneur pendant la guerre 1914-1918.


Œuvres

1913 : le Grand Meaulnes (publié de juillet à novembre dans la Nouvelle revue française et chez Emile Paul la même année)
1925 : Correspondance avec Jacques Rivière
Lettres au petit B...
Lettres à sa famille
Miracles (poèmes)
1992 : Alain-Fournier, Madame Simone, Correspondance 1912-1914, Fayard, 04/11/1992, (ISBN 2-213029989)
1990 : Colombe Blanchet - Esquisses d'un second roman inédit. Transcription d'un manuscrit de 133 pages éparses (esquisses et brouillons, notes préparatoires), Le cherche midi, 1990
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Message par crodan00 Ven 23 Nov - 8:55

Claude Seignolle, né le 25 juin 1917 à Périgueux, est un écrivain français qui a commencé par collecter le patrimoine légendaire des régions françaises, avant de développer une œuvre littéraire très personnelle.
lLa sologne Dm19_c10

Claude Seignolle

Né à Périgueux en 1917, son enfance se déroule dans la campagne où sa principale occupation est de ramasser et collectionner tout ce qui lui semble digne d’intérêt : pierres et silex, mais surtout fossiles et monnaies anciennes. Il est aussi très attentif aux contes et légendes que sa grand-mère lui raconte, d’où son goût pour les mystères de la nuit et toutes les sortes de diableries. A l’âge de douze ans, sa famille déménage à Châtenay-Malabry. Il est scolarisé au lycée Lakanal à Sceaux, où son professeur d’histoire l’encourage dans sa vocation archéologique. Il est renvoyé de ce lycée pour absentéisme et dédaigne le travail dans l’entreprise familiale. Par la suite, il fréquente la Société préhistorique française dont l’un des intervenants est l’abbé Henri Breuil et où il fait la rencontre du célèbre folkloriste Arnold Van Gennep. Rencontre déterminante, qui va le faire passer du patrimoine minéralogique à celui du folklore et du légendaire. Avec son frère Jacques, il va sillonner le Hurepoix pendant deux années et se faire collecteur des traditions rurales, s’intéressant aux rites des fêtes, aux superstitions, etc. En 1937, il co-signe avec son frère Le Folklore du Hurepoix, livre bien accueilli, notamment par Pierre Mac Orlan et Blaise Cendrars. Ce premier ouvrage va être suivi de nombreux autres consacrés à la culture populaire, mais aussi d’une œuvre littéraire plus personnelle. En 1945, paraît son premier roman : Le Rond des sorciers.

Romans

1945 : Le rond de sorciers
1949 : Marie la louve
1952 : La Malvenue
1959 : La brume ne se lèvera plus
1959 : Le diable en sabot


Nouvelles

1947 : Le meneur de loups
1958 : Le bahut noir - Ma cour des miracles
1959 : La brume ne se lèvera plus - Le diable en sabots
1960 : Le Chupador - Le gâloup
1962 : Ce que me raconta Jacob - Désirée la sangsue - L'âme boiteuse - Le diable en sabots
1963 : Delphine - Le rond des sorciers
1964 : Et si c'était ? - L'homme qui ne pouvait mourir - Le christ est vengé - Le faucheur - Les autres et moi - Minnah l'étoile - Un bel ensorcelé - Un petit monstre à louer au quart d'heure
1965 : L'exécution - La huche - Le millième cierge - Les âmes aigries - Pauvre Sonia
1966 : Celui qui avait toujours froid - Comme une odeur de loup - Deux dents, pas plus - L'homme qui savait d'avance - L'Isabelle - La mémoire du bois - Le bout du monde - Le Matagot - Le miroir - Les Gorel - Non pas moi ! - Pris entre dieu et diable - Un exorcisme - Un hasard minutieux
1967 : Ce Martin là - Celui qui s'y frotta - L'auberge du Larzac - Le chien pourri - Le dernier visiteur - Le dormeur - Le Hupeur - Le marchand de rats - Le retour à Tiburiac - Les chevaux de la nuit - Les deux plumes - Lou Siblaire - Nuits
1969 : Chaque chose à sa place - L'impossédable - L'Odile - La fille gagnée - La vierge maudite - Le venin de l'arbre - Les roses d'en Haut - Une veillée
1971 : Le feuillet perdu - Le grand vendu - Un Louis terreux
1972 : De qui venait ce sang ?
1974 : Il ne faut jamais réveiller les légendes - Huppe et Pupuler - L'oubliette - La panard - La main de pierre - La morsure de Satan - Mais qui est le plus fort ? - Un vieux mélomane - Un viol - Une enfance sorcière - Une santé de cerisier


Essais

1964 : Les évangiles du diable
1970 : Les loups verts


Recueils

1962 : La Malvenue
1962 : Un corbeau de toutes les couleurs
1965 : Histoires maléfiques
1965 : La Malvenue et autres récits diaboliques
1966 : Contes macabres
1967 : Les chevaux de la nuit, et autres récits cruels
1969 : Histoires vénéneuses
1971 : Delphine ou la nuit des Halles
1974 : Contes sorciers
1979 : Histoires étranges
1984 : La nuit des halles
1984 : Les malédictions (2 tomes)
1985 : Les cercles de la peur
1988 : Histoires sorcières
1989 : A l'enseigne de l'étrange
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Message par crodan00 Sam 24 Nov - 5:25

Marguerite Audoux est une romancière française (1863-1937).

lLa sologne Margue10

Marguerite Audoux


Marguerite Donquichote naît à Sancoins, dans le Cher, le 7 juillet 1863. À l’âge de trois ans, elle perd sa mère, et son père abandonne ses deux filles. Marguerite et Madeleine (l’aînée), d’abord confiées à une tante, passent neuf années à l’orphelinat de l’Hôpital général de Bourges. Marguerite est placée de 1877 à 1881, en tant que bergère d’agneaux et servante de ferme, en Sologne. Les deux dernières années de cette période sont marquées par la rencontre d’Henri Dejoulx, avec qui la jeune fille vit un amour payé de retour, mais auquel la famille d’Henri, par peur d’une mésalliance, met un terme.

L’orpheline monte alors sur Paris, où elle vit des années noires en exerçant le métier de couturière, que le chômage la contraint de faire alterner avec d’autres travaux pénibles (à La Cartoucherie de Vincennes, et dans la buanderie de l’Hôpital Laënnec). Pendant ces années de misère, en 1883, elle a un enfant qui ne survit pas, et qui lui vaut, au terme d’une grossesse et d’un accouchement pénibles, une stérilité définitive.

À la même époque, sa sœur Madeleine lui laisse sa fille Yvonne, que la future romancière élève, en dépit des difficultés financières auxquelles elle est confrontée. C’est précisément cette nièce qui, sans bien sûr en avoir conscience, va favoriser la carrière littéraire de sa mère adoptive : la jeune fille volage, à seize ans, se prostitue, à l’insu de sa tante, dans le quartier des Halles de Paris ; or, un jeune homme, qui ignore également le commerce auquel elle s’adonne, s’éprend d’elle. C’est Jules Iehl, alias Michel Yell en littérature, un ami d'André Gide. Quand il prend conscience de la situation, il va voir la tante, avec qui il se console si bien que leur relation ne prendra fin qu’en 1912. Yell fait rencontrer à son amie un groupe d’intellectuels, des écrivains et des artistes parmi lesquels figurent Charles-Louis Philippe, Léon-Paul Fargue, Léon Werth et Francis Jourdain. Michel Yell découvre que celle avec qui il partage ses jours (et qui, dès 1895, a définitivement adopté son matronyme d’Audoux) a écrit ses souvenirs, et d’une fort jolie façon. Il trahit le secret auprès des compagnons de route, qui constituent le « Groupe de Carnetin » (du nom du village de l’est de Paris où ils se réunissent chaque dimanche de 1904 à 1907). Francis Jourdain, dont le père, l'architecte Frantz Jourdain, est un ami d’Octave Mirbeau, va trouver l’auteur de Le Journal d’une femme de chambre. Celui qui règne en maître dans la République des Lettres est alors dépressif, et fait comprendre au jeune peintre qu’il n’est, pour l’heure, plus prêt à défendre quiconque. Il prend cependant le manuscrit, commence à le lire, et ne le termine avec enthousiasme que pour aller l’imposer aux éditeurs.

C’est donc à Octave Mirbeau que la couturière des lettres doit ce véritable coup d’état du 2 décembre 1910 : le Prix Femina-Vie heureuse que l’on décerne à l’ancienne bergère, qui assistera, de son vivant, au dépassement des cent mille exemplaires de Marie-Claire, traduit dans de nombreuses langues, en allemand et en anglais bien sûr, mais aussi en esperanto, en russe, en catalan, en suédois, en espagnol, en danois, en slovène...

Le second livre ne paraîtra que dix ans plus tard, après le départ de Michel Yell (puis la mort d’Alain-Fournier, le fils spirituel de la romancière, et celle d'Octave Mirbeau), et au moment de l’adoption des trois fils d’Yvonne. L’Atelier de Marie-Claire, en 1920, rencontre encore un certain succès, mais qu’un tirage à douze mille exemplaires place cependant loin derrière le best-seller dont il constitue la suite. C’est le début d’un lent decrescendo ponctué par De la ville au moulin (1926), La Fiancée, un recueil de contes digne d’intérêt que Flammarion édite en 1932, et enfin Douce Lumière, roman posthume qui sort fin 1937. La romancière, décédée le 31 janvier de cette même année, est enterrée à Saint-Raphaël, où l’amoureuse de la mer a terminé son existence.


Les quatre romans

Marie-Claire (1910), Grasset, Les Cahiers Rouges, 1987. Cette première œuvre est la plus autobiographique. Elle évoque l'enfance et l'adolescence de l'auteur. La première partie relate la mort de la mère, le départ du père et les neuf années passées à l'orphelinat, l'Hôpital Général de Bourges, période difficile, éclairée cependant par la présence tutélaire de sœur Marie-Aimée. La deuxième partie se situe à la ferme de Villevieille, où les premiers patrons de Marie-Claire, Maître Sylvain et Pauline, entourent la petite bergère d'une affection bienveillante. Dans la troisième partie, la jeune fille s'éprend d'Henri Deslois, le frère de la fermière qui a succédé à Pauline. La mère du jeune homme interdit à Marie-Claire de revoir Henri. Celle-ci retourne alors au couvent, où elle revoit sœur Marie-Aimée avant de partir pour Paris.
L’Atelier de Marie-Claire (1920), Grasset, Les Cahiers Rouges, 1987. L'atelier de couture où Marie-Claire a trouvé du travail nous est dépeint comme une grande famille. Les patrons, M. et Mme Dalignac, et les ouvrières, obligées de s'embaucher en usine lors des périodes de chômage, dépendent de la même façon des clientes, exigeantes et souvent mauvaises payeuses. Ainsi, ce roman est à la fois la peinture d'un milieu social et une suite d'anecdotes variées qui, tout en campant avec précision les personnages des ouvrières, permettent au récit de progresser. Après la mort des patrons, on ne sait si Marie-Claire épousera Clément, le neveu de Mme Dalignac, qu'au demeurant elle n'aime pas.
De la ville au moulin, Fasquelle, 1926. En voulant s'interposer lors d'une dispute qui oppose ses parents, Annette Beaubois est blessée à la hanche et demeure boiteuse. Elle part pour le moulin de son oncle, bientôt suivie par ses frères et sœurs que ses parents, en train de se séparer, lui confient. À vingt ans, elle consent à vivre avec un ami de son frère, Valère, qui sombre dans l'alcoolisme, et la trompe. Enceinte de ses œuvres, elle le quitte néanmoins pour aller accoucher, à Paris, d'un enfant qui ne survit pas. Dans la capitale, elle retrouve sa famille, puis, la guerre terminée, elle reconnaît Valère dans un grand blessé. Elle est prête à lui redonner sa chance.
Douce Lumière, Grasset, 1937 (posth.). Douce est le surnom d'Eglantine Lumière. Sa mère est morte en couches, le père s'est suicidé de désespoir, et le grand-père maternel voue à la fillette une injuste rancune. Douce trouve du réconfort auprès de son jeune voisin, Noël, et, au fil des années, l'amitié se transforme en amour. Mais Eglantine est victime d'une campagne de calomnie de la part de la famille du jeune homme qui, hostile à leur union, réussit à les séparer. L'héroïne, à jamais marquée par son expérience et fidèle au souvenir de Noël, se retrouve à Paris, où elle sympathise avec Jacques, son voisin, malheureux en amour, puis veuf. Une tentative de relation amoureuse échoue. Jacques part pour la guerre. Lorsqu'il revient, il a perdu la raison.
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