Citations
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Citations
Zola, Émile (1840-1902)
écrivain naturaliste dont l'œuvre principale est une vaste fresque en vingt volumes qui raconte l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire. Né à Paris d'une mère bourguignonne et d'un père italien, Émile Zola passa toute sa jeunesse à Aix-en-Provence. Sans être un écrivain de terroir comme Daudet, il se souvint toujours de ses promenades dans la campagne provençale avec ses amis, Cézanne et Baille (futur polytechnicien et astronome). Le père, François Zola, travaillait à Aix, à la construction du canal qui devait porter son nom. Sa mort, survenue le 22 mars 1847, bouleversa le jeune Émile et influença profondément son œuvre, dominée par la figure du père, homme libéral, novateur, audacieux, bâtisseur (incarnée par Octave Mouret dans Au bonheur des dames ou encore par Saccard, le banquier de la Curée et de l'Argent). Après deux échecs au baccalauréat « à cause du français », Zola mena d'abord à Paris, à partir de 1858, une vie incertaine : « être pauvre à Paris, c'est être pauvre deux fois » dit le narrateur de la Curée. Il entra finalement aux éditions Hachette où il travailla du 1er mars 1862 au 31 janvier 1866 comme commis puis comme chef de la publicité. Quand il s'attela à son œuvre majeure, les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire, Zola avait acquis une longue pratique de l'écriture et des milieux intellectuels. Au sein de la librairie Hachette, il avait vu fonctionner de l'intérieur une entreprise commerciale moderne, expérience qu'il décrivit à plusieurs reprises dans ses romans. Ses fonctions l'avaient mis en rapport avec quelques-uns des écrivains les plus connus de l'époque (Guizot, Lamartine, Michelet, Littré, Sainte-Beuve) sans l'empêcher d'écrire lui-même. Outre des centaines de vers, il composa à cette époque plusieurs textes en prose très variés, allant du conte de fées à la satire politique en passant par la chose vue, le récit à finalité morale. Il réussit à publier en novembre 1864 un petit recueil de contes, les Contes à Ninon, qui fut bien accueilli. Parallèlement, il collabora à différents journaux (le Petit Journal, le Salut public de Lyon), ce qui lui donna notamment l'occasion, en 1864, de défendre avec fougue le premier roman naturaliste des Goncourt, Germinie Lacerteux. Ayant décidé de vivre de sa plume, il quitta la librairie Hachette en 1866. Dès cette année, il mena sa première grande campagne naturaliste dans l'Évènement de Villemessant, en défendant un peintre dont les toiles avaient été refusées au Salon : Édouard Manet. En 1867, il publia un roman, Thérèse Raquin qui, bien qu'il n'en fasse pas partie, annonça les Rougon-Macquart par les sujets abordés (hérédité, folie) mais aussi par les critiques qu'on en fit : dans la presse on traita Zola de « pornographe », d'« égoutier », de partisan de la « littérature putride ». Dans Madeleine Férat, récit publié en feuilleton en 1868, se précisèrent les deux thèmes dominants de l'œuvre à venir : l'histoire naturelle et les questions d'hérédité d'un côté, l'histoire sociale de l'autre. Lorsqu'il décida d'entreprendre sa vaste fresque romanesque, Zola élabora toute une série de réflexions liminaires. Par souci de méthode, il voulait établir un plan général, avant même d'écrire la première ligne. Il tenait aussi à préciser sa différence avec Balzac et sa Comédie humaine : « Mon œuvre à moi sera tout autre chose. Le cadre en sera plus restreint. Je ne veux pas peindre la société contemporaine, mais une seule famille en montrant le jeu de la race modifiée par le milieu. […] Ma grande affaire est d'être purement naturaliste, purement physiologiste ». Il voulait écrire des romans expérimentaux, notion qu'il développa dans un célèbre article publié en 1879 : se référant à l'Introduction à l'étude de la médecine expérimentale de Claude Bernard, il affirmait que le romancier ne devait plus se contenter de l'observation, mais devait adopter une attitude véritablement scientifique, soumettant le personnage à une grande variété de situations, éprouvant son caractère, faisant apparaître un jeu de relations, de généralités, de nécessités et, surtout, fondant son travail sur une solide documentation. Zola trouva dans une étude du docteur Lucas (Traité philosophique et physiologique de l'hérédité naturelle, 1847-1850) les principes de construction de la famille des Rougon-Macquart. Selon Lucas, le processus héréditaire peut aboutir à trois résultats différents : l'élection (la ressemblance exclusive du père ou de la mère), le mélange (la représentation simultanée du père et de la mère), la combinaison (fusion, dissolution des deux créateurs dans le produit). Le romancier fut ébloui. L'aspect systématique de la détermination génétique le fascina. Il dressa un arbre généalogique dans lequel il établit des correspondances entre les personnages et les romans. Il prépara ensuite un premier plan de dix romans se déboîtant les uns des autres. Dans la préface du premier volume, il donne une explication sur l'origine et le devenir potentiel de ses personnages : « Historiquement, ils partent du peuple, ils s'irradient dans toute la société contemporaine, ils montent à toutes les situations, par cette impulsion essentiellement moderne que reçoivent les basses classes en marche à travers le corps social, et ils racontent ainsi le second Empire à l'aide de leurs drames individuels, du guet-apens du coup d'État à la trahison de Sedan. » La Fortune des Rougon (1871), le premier volume, est la base qui justifie tout l'édifice. Ce roman raconte le coup d'État du prince Louis Napoléon Bonaparte, le 2 décembre 1851, vu d'une ville de Provence, Plassans, que Zola a inventée d'après la ville d'Aix-en-Provence où il passa son enfance. À la faveur de ce bouleversement politique, les ambitions se déchaînent. Deux branches rivales d'une même famille, les Rougon et les Macquart, s'affrontent, les premiers se révélant bonapartistes par calcul, les seconds libéraux par pauvreté et par envie. Toute la structure interne des Rougon-Macquart est expliquée par la névrose d'Adelaïde Fouque, dont le père a fini dans la démence et qui, après la mort de son mari, un simple domestique nommé Pierre Rougon, prend pour amant un ivrogne, Antoine Macquart. La descendance de celle que l'on appelle tante Dide est marquée par la double malédiction de la folie et de l'alcoolisme, que l'on retrouve dans tous les volumes. Ainsi, le docteur Pascal, héros du vingtième et dernier volume, s'effraye en comprenant subitement la tragique destinée de sa famille : « Tout s'emmêlait, il arrivait à ne plus se reconnaître au milieu des troubles imaginaires qui secouaient son organisme éperdu. Et chaque soir, la conclusion était la même, le même glas sonnait dans son crâne : l'hérédité, l'effrayante hérédité, la peur de devenir fou. […] Ah ! qui me dira, qui me dira ? […] Chez lequel est le poison dont je vais mourir ? Quel est-il, hystérie, alcoolisme, tuberculose, scrofule ? Et que va-t-il faire de moi, un épileptique, un ataraxique ou un fou ? ». Gustave Flaubert, dès la parution du premier volume, écrivit à Zola : « Je viens de finir votre atroce et beau livre. […] J'en suis encore étourdi ! C'est fort, très fort. […] Vous avez un fier talent et vous êtes un brave homme ». Les critiques littéraires ne partagèrent pas tous cet avis puisque le romancier fut victime de plusieurs campagnes de presse qui dénonçaient sa littérature jugée scandaleuse. La publication des Rougon-Macquart, volume après volume, année après année (la Curée, 1871 ; le Ventre de Paris, 1873 ; la Conquête de Plassans, 1874 ; la Faute de l'abbé Mouret, 1875 ; Son Excellence Eugène Rougon, 1875), déchaîna simultanément des réactions enthousiastes et des attitudes de rejet. La publication en feuilleton de l'Assommoir, par exemple, fut suspendue sous la pression des abonnés du Bien public en mai 1876. Mais, lorsqu'il parut en volume en janvier 1877 chez Charpentier, le roman s'arracha. Avec l'argent du succès, Zola s'acheta une maison à Médan qui servit de refuge aux naturalistes. Il était devenu un maître à penser. Entre 1877 et 1880, les plus fidèles de ses visiteurs furent Huysmans, Guy de Maupassant, Henri Céard, Léon Hennique et Paul Alexis. De ces réunions naquit un livre (les Soirées de Médan, 1880), sorte de manifeste appliqué du naturalisme, composé d'une nouvelle de chacun des écrivains précités. Celle de Zola avait pour titre l'Attaque du moulin. Celle de Maupassant, Boule-de-Suif, rendit son auteur célèbre à trente ans. Appartenant au cycle des Rougon-Macquart, Nana (1880), qui raconte l'ascension et la déchéance sociale d'une prostituée, se vendit, dès le premier jour de sa parution à cinquante-cinq mille exemplaires et Charpentier ordonna d'en tirer dix éditions supplémentaires. Au bonheur des dames (1883), roman-valise qui mêle une histoire d'amour à celle d'un grand magasin, confirma l'intérêt de Zola pour les questions économiques et sociales (il avait lu Fourier, Proudhon, Guesde et Marx). Mais c'est dans Germinal qu'il exprima le mieux son intérêt pour le peuple. Pour écrire ce roman, ayant pour thème central une grève minière, il entra directement en contact avec le prolétariat industriel et vécut pendant plusieurs mois dans une région minière. En 1886 paraissait l'Œuvre, qui acheva de brouiller Cézanne et Zola. Le peintre s'était reconnu dans le portrait du personnage principal, un artiste, et les désaccords qui séparaient les deux hommes se manifestèrent alors ouvertement. La Terre (1887) souleva une violente campagne de protestation. Certains pseudo-naturalistes estimèrent dans un manifeste qu'il calomniait les paysans : « Par instants, on se croirait devant un recueil de scatologie ». Après le Rêve (1888), écrit dans une veine plus douce et paisible, Zola revint à l'inspiration naturaliste avec la publication en 1889 de la Bête humaine, qui met en scène un criminel héréditaire, Jacques Lantier, et qui présente la vie quotidienne des ouvriers du chemin de fer. Edmond de Goncourt se moqua ouvertement du voyage que fit Zola, de Paris à Mantes, sur la plate-forme d'une locomotive, vêtu d'un bleu de chauffe, afin de se documenter pour son livre. Les trois derniers romans du cycle des Rougon-Macquart (l'Argent, la Débâcle, le Docteur Pascal) furent publiés de 1891 à 1893. Peu à peu, Zola s'était imposé. Les milliers de pages, les vingt volumes publiés entre 1871 et 1893, ses enquêtes sur le terrain, sa documentation énorme et son sens de la publicité contribuèrent à asseoir sa réputation. Le 21 janvier 1893, ses éditeurs, Charpentier et Fasquelle, organisèrent, pour célébrer la fin des Rougon-Macquart, un banquet littéraire qui rassembla deux cents écrivains et artistes. Cette vaste somme romanesque transpose sur le plan littéraire les grands changements de structure de la seconde moitié du XIXe siècle qu'imposa la naissance de l'âge industriel : l'émergence des masses, le développement des grandes villes, l'essor du capitalisme conquérant. Mais, davantage que sa valeur de témoignage scientifique, c'est le caractère mythique, la justesse du ton et les dimensions titanesques de l'œuvre qui impressionnent et fascinent, aujourd'hui encore, le lecteur. Dans la deuxième partie de son œuvre, moins connue et composée de deux cycles romanesques distincts : les Trois Villes (Lourdes, 1894 ; Rome, 1896 ; Paris, 1898) et les Quatre Évangiles (Fécondité, 1899 ; Travail, 1901 ; Vérité, 1903 et Justice qui resta inachevé), Zola voulut se faire prophète et prêcheur. Ces ouvrages sont généralement délaissés par les critiques qui insistent plutôt sur l'engagement du romancier lors de l'affaire Dreyfus. Cet épisode magnifie la vie de Zola, l'audace littéraire étant complétée par le courage politique. Convaincu de l'innocence de Dreyfus, il prit position avec véhémence. Dans un premier article paru le 5 décembre 1897 dans le Figaro et intitulé « Procès-verbal », il condamna l'antisémitisme, puis, dans un deuxième temps, publia dans l'Aurore sa célèbre lettre ouverte adressée au président de la République, Félix Faure, « J'accuse ». Condamné pour diffamation à un an de prison et à 3 000 francs d'amende, Zola s'exila onze mois en Angleterre. Il fut gracié et réhabilité dans sa qualité de citoyen lorsque l'innocence de Dreyfus fut enfin démontrée. Mort accidentellement (à 62 ans) dans des circonstances mal élucidées, Zola fut inhumé à Montmartre ; une foule immense assista à la mise en terre.
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A mon avis, vous ne pouvez pas dire que vous avez vu quelque chose à fond si vous n'en avez pas pris une photographie.
Au cours des siècles, l'histoire des peuples n'est qu'une leçon de mutuelle tolérance.
Aucun bonheur n'est possible dans l'ignorance, la certitude seule fait la vie calme.
Chaque fois que la science avance d'un pas, c'est qu'un imbécile la pousse, sans le faire exprès.
Depuis le premier jour, l'Eglise a pris et gardé la femme, comme l'aide la plus puissante de son oeuvre de propagande et d'asservissement.
Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela? Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves, que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour le vingtième siècle qui va s'ouvrir!
Emanciper la femme, c'est excellent; mais il faudrait avant tout lui enseigner l'usage de la liberté.
Haïr, c'est aimer, c'est sentir son âme chaude et généreuse, c'est vivre largement du mépris des choses honteuses et bêtes...
Il y a certainement des gens heureux de vivre, dont les jouissances ne ratent pas et qui se gorgent de bonheur et de succès.
Ils sont un même être en deux êtres différents; là c'est, si je ne me trompe, la définition des amis parfaits.
Je crois que l'avenir de l'humanité est dans le progrès de la raison par la science.
Je n'ai qu'une passion, celle de la lumière, au nom de l'humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur.
L'argent, jusqu'à ce jour, était le fumier dans lequel poussait l'humanité de demain.
L'égoïsme des classes est un des soutiens les plus fermes de la tyrannie.
La femme n'était-elle pas la honte et la perdition, une créature de dégoût, de péché et de terreur, devant laquelle tremblent les saints ?
La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd'hui pour assurer le règne de Dieu.
La haine est sainte. Elle est l'indignation des coeurs forts et puissants, le dédain militant de ceux que fâchent la médiocrité et la sottise.
La passion est encore ce qui aide le mieux à vivre.
La religion tolérait bien des faiblesses, quand on gardait les convenances.
La vérité est en marche; rien ne peut plus l'arrêter.
La vérité et la justice sont souveraines, car elles seules assurent la grandeur des nations.
Le romancier est fait d'un observateur et d'un expérimentateur.
Les sanglots d'un homme ont des sécheresses navrantes.
On ne saurait aller trop loin dans la connaissance de l'homme.
Rien ne développe l'intelligence comme les voyages.
Savoir où l'on veut aller, c'est très bien; mais il faut encore montrer qu'on y va.
Une oeuvre d'art est un coin de la création vu à travers un tempérament.
Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil.
Au cours des siècles, l'histoire des peuples n'est qu'une leçon de mutuelle tolérance.
Aucun bonheur n'est possible dans l'ignorance, la certitude seule fait la vie calme.
Chaque fois que la science avance d'un pas, c'est qu'un imbécile la pousse, sans le faire exprès.
Depuis le premier jour, l'Eglise a pris et gardé la femme, comme l'aide la plus puissante de son oeuvre de propagande et d'asservissement.
Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela? Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves, que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour le vingtième siècle qui va s'ouvrir!
Emanciper la femme, c'est excellent; mais il faudrait avant tout lui enseigner l'usage de la liberté.
Haïr, c'est aimer, c'est sentir son âme chaude et généreuse, c'est vivre largement du mépris des choses honteuses et bêtes...
Il y a certainement des gens heureux de vivre, dont les jouissances ne ratent pas et qui se gorgent de bonheur et de succès.
Ils sont un même être en deux êtres différents; là c'est, si je ne me trompe, la définition des amis parfaits.
Je crois que l'avenir de l'humanité est dans le progrès de la raison par la science.
Je n'ai qu'une passion, celle de la lumière, au nom de l'humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur.
L'argent, jusqu'à ce jour, était le fumier dans lequel poussait l'humanité de demain.
L'égoïsme des classes est un des soutiens les plus fermes de la tyrannie.
La femme n'était-elle pas la honte et la perdition, une créature de dégoût, de péché et de terreur, devant laquelle tremblent les saints ?
La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd'hui pour assurer le règne de Dieu.
La haine est sainte. Elle est l'indignation des coeurs forts et puissants, le dédain militant de ceux que fâchent la médiocrité et la sottise.
La passion est encore ce qui aide le mieux à vivre.
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