Logos de clubs de foot

Le logo du Racing Club de Lens

La forme actuelle du logo date de 1979. Il emprunte les couleurs rouge et jaune du maillot lensois, adoptées en 1924 par les dirigeants du club : en sortant d'une réunion, ces derniers étaient passés devant l'église Saint-Léger de Lens, détruite lors de l'occupation espagnole de la ville au XVIe siècle. Le président de l'époque, René Moglia, aurait alors décidé de substituer au vert et noir les couleurs sang et or du drapeau hispanique.
Le château fort et les fleurs de lys renvoient aux armoiries de la ville. Ces deux symboles ont fait leur apparition sur le logo en 1969, l'année où le maire André Delelis a décidé de relancer le club. En effet, le Racing avait été vendu l'année précédente par les Houillères de Lens et jouait depuis en amateur.
La lampe de mineur (en noir) est présente sur le blason du club depuis 1955. C'est un clin d'œil à l'histoire du club et de la région : auparavant, les joueurs étaient salariés des Houillères de Lens, fondateur et propriétaire des Sang et Or.
Quant à la mention "Depuis 1906", l'année de la création du RC Lens, elle a été ajoutée en 2001.


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Le logo du FC Metz

Le président Molinari est à l'origine du logo messin, redessiné en 1967 à l'occasion de la remontée des Lorrains en première division. La couleur grenat est un hommage au Cercle Athlétique Messin (CAM), alors que le blanc est un souvenir de l'Association Sportive Messine (ASM), deux clubs ennemis mais à l'origine du FC Metz.
Le dragon Graoully est une bête fictive, tirée d'une légende locale. D'après les récits, ce monstre effrayait la population messine avant que Saint Clément, le premier évêque de Metz, le tue.
Enfin, la croix de Lorraine est un symbole qui remonte au temps des ducs d'Anjou, devenus ducs de Lorraine à la fin du XVe siècle. Et c'est surtout, dans la mémoire collective, l'emblème choisi par la Résistance française pendant la Seconde guerre mondiale. D'après les "Mémoires de guerre" du Général De Gaulle, c'est l'amiral Thierry d'Argenlieu qui aurait voulu opposer la croix de Lorraine à la croix gammée nazie.


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Le logo du Paris Saint-Germain

Le Paris Saint-Germain est né durant l'été 1970 de la fusion entre le Stade Saint-Germain et le Paris Football Club. Les couleurs du maillot parisien, reprises sur le blason du club, sont les traces de cette union. Le rouge de la Tour Eiffel et le fond bleu sont les deux couleurs de la ville de Paris, une référence à La Fayette et à Jean-Sylvain Bailly, deux personnages clé de la Révolution française de 1789.
Le blanc estun clin d'œil aux armoiries de Saint Germain-en-Laye, et c'est aussi la couleur de la royauté. Le berceau et la fleur de lys rappellent que Louis XIV est né à Saint Germain-en-Laye en 1638. Seul lien entre le PSG et la ville aujourd'hui : le Camp des Loges, où s'entraînent les joueurs parisiens.


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Le logo du Stade Rennais

Le blason actuel du Stade Rennais a été dessiné en 2002. Il copie celui créé l'année précédente à l'occasion des 100 ans du club, en faisant disparaître la mention "centenaire". Au centre du blason, deux hermines se disputent un ballon. Les Rennais ont toujours repris à leur compte ce symbole de l'identité bretonne.
La légende raconte que la duchesse Anne de Bretagne aurait pris part à une partie de chasse où la proie était une hermine blanche. Acculée au bord d'une mare, cernée par les chasseurs, la bête préfère mourir plutôt que de salir sa fourrure. Impressionnée par la noblesse de l'animal, la duchesse épargne l'hermine. Mieux, elle en fait son emblème.
Sur le drapeau breton sont représentées les tâches noires qui parsèment la fourrure de l'hermine.
Le rouge et noir sont les couleurs du Football Club Rennais, qui a fusionné en 1904 avec le Stade Rennais afin de créer le Stade Rennais Universitaire Club (SRUC).


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Le logo du Racing Club de Strasbourg

Créé en 2006, le logo actuel est une synthèse de tous les précédents. Quatre éléments propres à Strasbourg sont représentés.
» Le blason de la ville, qui est repris en partie par la bande diagonale rouge, fait son apparition au début des années 1950.
» La cigogne (en blanc), intégrée au logo à la même période, est un animal symbolique en Alsace. C'est lui qui, dans l'imaginaire des enfants, dépose les nouveaux-nés dans les berceaux. Autrefois, les cigognes étaient nombreuses dans la région au début du printemps.
» La cathédrale Notre-Dame apparaît au début des années 1960. C'est le monument historique le plus caractéristique de la ville de Strasbourg.
» Le cycle RCS, acronyme de Racing Club de Strasbourg, accompagne le blason du club depuis le début. Il ne l'a quitté qu'au cours des années 1970, quand le club a été rebaptisé Racing Pierrots Strasbourg Meinau (RPSM).


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Le logo de l'AS Nancy Lorraine

A la suite de sa victoire en Coupe de la Ligue face à Nice en 2006, le club lorrain a décidé de transformer son logo de manière profonde. En fait, c'est plus un retour aux sources qu'une véritable révolution.
Les deux diagonales rouges sont reprises du blason de la ville de Nancy. Ces bandes étaient déjà présentes sur le logo de l'ASNL lors de sa victoire en Coupe de France en 1978, toujours face à Nice. Le bleu, qui donnait une teinte trop tricolore au logo, a été abandonné.
L'ancien slogan, "La rage de réussir", a disparu au profit de la devise de Nancy, "Qui s'y frotte s'y pique", qui était celui du club à son origine. L'emblème du chardon, puis la formule qui l'accompagne, auraient été introduits en Lorraine par René d'Anjou et René II.
Les supporters décernent chaque mois le Chardon Lorrain au meilleur joueur nancéien. En fin de saison, celui qui a accumulé le plus de points reçoit le chardon de l'année.


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Le logo de l'Olympique de Marseille

L'OM a relooké son logo une dizaine de fois, mais il a toujours conservé ses fondamentaux : les couleurs bleue et blanche de la cité phocéenne, le sigle OM et la devise historique, "Droit au but". Seule innovation, en 1993 : l'étoile dorée apparaît après la victoire olympienne en Coupe d'Europe face au Milan AC.
Le premier président de l'Olympique de Marseille, René Dufaure de Montmirail, s'est inspiré de son sceau personnel (DM) pour créer le logo originel du club, en entrelaçant les lettres "O" et "M".
Il y a ajouté la devise "Droit au but", qui était celle du club omnisports de l'Olympique de Marseille. A cette époque, c'est le rugby qui était le sport roi à Marseille. Le slogan pourrait donc, à l'origine, ne pas avoir été créé pour la section football.
La dernière version du logo est née en février 2004. D'après Christophe Bouchet, qui était alors président de l'OM, l'ancien blason faisait trop penser à un sens interdit...


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Le logo du Club Sportif Sedan Ardennes

Vous vous demandez pourquoi les joueurs sedanais sont appelés les "sangliers" ? Encore une fois, c'est le blason de la ville qui a été repris par le logo du club. Au XVIe siècle, le prince Henri Robert de La Mark donne ses armes à Sedan. Sur les armoiries de la cité figure alors un sanglier adossé à un chêne. La proximité de la forêt des Ardennes donne une explication toute simple à ce choix.
Le 27 mai 1956, l'Union Athlétique Sedan Torcy (l'ancien nom du CSSA) joue sa première finale de Coupe de France, face à Troyes. A la fin de la rencontre, à Colombes, les Sedanais fêtent leur victoire en faisant un tour d'honneur... accompagné d'un sanglier, Dudule !
Depuis, l'animal est devenu la mascotte du club et a toujours figuré sur le logo. Dudule junior a succédé à Dudule Ier, puis ce fut au tour de la laie Dora en 1961, remplacée quelques années plus tard par Césarine.


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Le logo du Football Club de Nantes

Le logo des "Canaris" nantais a fait peau neuve en janvier 2008. Trois projets ont été proposés aux supporters, qui ont voté sur Internet (100 000 votes à l'issue de la consultation selon le président Waldemar Kita). Sont conservées par rapport au précédent : la traditionnelle goélette (le voilier qui figure sur les armoiries de la ville), les étoiles rappelant les 8 titres de champion de France, et la date de création du club (1943).
Les 5 hermines qui symbolisent la Bretagne font leur retour sur le blason, elles qui avaient disparues depuis 2003. Le FC Nantes retrouve son nom d'origine : le mot "Atlantique" tombe aux oubliettes. Un ballon de foot apparaît pour la première fois, tout comme les bandes verticales jaunes et vertes qui rappellent le maillot des Nantais champions de France en 1995.


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Le logo de l'Olympique Gymnaste Club de Nice

Les joueurs niçois sont surnommés les "Aiglons", en référence à l'aigle qui figure sur leur logo depuis toujours.
En 1431, l'aigle apparaît dans les statuts octroyés par le duc de Savoie, le comte Amédée VIII, à la ville de Nice. C'est un symbole du Saint-Empire germanique, qui s'étend jusqu'aux confins du Rhône à cette époque.
Historiquement, l'aigle niçois a toujours la tête tournée sur sa droite, comme sur le logo du "Gym". Quant à la couronne rouge, elle renvoie selon toute vraisemblance à celle portée par Amédée VII, le père d'Amédée VIII, surnommé le "comte Rouge" en raison de la couleur de ses vêtements.


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Le logo d'Arsenal

Le club londonien a été créé en 1888 sous le nom de Royal Arsenal. Le canon est un élément du blason de Woolwich, un quartier de Londres où se trouvaient le régiment royal d'artillerie, des hôpitaux militaires, et surtout un entrepôt d'armes à feu. A l'origine, ce sont des ouvriers du Royal Arsenal qui jouaient dans ce club. Leur surnom, les "Gunners" (canoniers en français), est apparu sur le logo du club en 1925.
Le premier blason représentait trois canons pointés vers le Nord. Changement de cap en 1922, l'unique canon dessiné étant tourné vers l'Est. En 1949, le logo prend des couleurs : le fond est déjà rouge (un hommage au club de Nottingham Forest, qui a aidé Arsenal à sa naissance) et le canon se pare de doré. Ce blason, qui vivra plus d'un demi-siècle, s'appelle le Victoria Concordia Crescit (VCC).
En 2002, les Gunners redessinent leur logo pour des raisons essentiellement juridiques. Le club londonien n'avait en effet aucun droit sur le VCC, ce qui le privait d'une entrée d'argent non négligeable. La couleur bleue remplace le vert, au grand dam des puristes. Un groupe de supporters, l'Arsenal Independent Supporters' Association, a vivement critiqué la disparition de la devise du club ("victoria concordia crescit", la victoire vient avec l'harmonie), de l'écriture gothique et de la forme du blason, qui était plus artistique.


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Le logo de l'AS Rome

Le blason fait sien le mythe de la création de Rome. On y voit Romulus (fondateur et premier roi de la ville) et Remus, deux enfants sauvés de la noyade par une louve. L'animal a toujours été présent sur le logo de l'AS Rome, mais les deux frères ne sont apparus qu'en 1987. D'ailleurs, les Romains sont souvent surnommés "i lupi" (les loups) par leurs supporters.
Quant aux couleurs, ce sont celles utilisées par le Roman FC avant qu'il ne fusionne avec l'Alba et le Fortitudo, les deux autres clubs à l'origine de la création de l'AS Rome. L'or et le rouge pourpre sont les couleurs historiques de la Ville Eternelle : le premier symbolise la dignité impériale, le second est la couleur de Dieu dans le catholicisme romain. A l'instar des "Rossoneri" (rouge et noir) milanais, les joueurs de la capitale sont aussi parfois surnommés "i giallorossi" (les jaune et rouge).


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Le logo de West Ham

West Ham United est né en 1895 sous l'impulsion d'Arnold Hills et Dave Taylor, contre-maître dans une société londonienne de chantiers navals, Thames Ironworks and Shipbuilding Company Limited. A l'époque, le club s'appelait d'ailleurs Thames Ironworks FC. Les marteaux dessinés sur le blason étaient ceux utilisés par les ouvriers pour battre l'acier. C'est pour cette raison que les joueurs de West Ham ont hérité du surnom de "Hammers", qui signifie marteaux en français.
Le premier blason de West Ham est dessiné en 1904. Il reprend celui du Thames Ironworks FC et y ajoute le château fort en arrière plan. Selon toute vraisemblance, c'est une référence à Green Street House, l'ancienne demeure (supposée) d'Anne Boleyn, la mère de la reine Elizabeth Ier. Le stade des Hammers, construit à l'endroit du château, s'appelle d'ailleurs le Boleyn Ground. Au début des années 2000, les tours du château ont été reproduites en miniature à l'entrée du stade, d'après le modèle dessiné sur le logo.


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Le logo de l'Atletico Madrid

L'ours et l'arbousier, symboles de la capitale espagnole, ont été intégrés au logo de l'Atletico au début du XXe siècle. L'arbousier (Madroño) aurait été adopté par Madrid en raison de sa ressemblance phonétique. Quant à l'ours, l'animal était un habitué de la région madrilène il n'y a encore pas si longtemps.
Les 7 étoiles n'ont aucun rapport avec les titres gagnés par le club. C'est un emprunt au drapeau de la Communauté autonome de Madrid.
Le blanc et rouge, couleurs de l'Atletico depuis ses origines, ont valu aux joueurs le surnom de matelassiers ("colchoneros"). Contrairement à ce qui se dit parfois, ce ne sont pas des matelassiers qui ont fondé le club. C'est simplement parce que ces deux couleurs, prises ensemble, font penser aux vieux matelas d'Espagne, les "colchones".


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Le logo de la Fiorentina

L'autre nom de Florence, c'est "la Cité au lys rouge". La ville a adopté la fleur de lys comme emblème avant que la monarchie française en fasse de même. Les joueurs de la Fiorentina sont d'ailleurs surnommés les "gigliati", giglio étant la traduction italienne de "lys".
Le losange blanc fait également partie du blason de la cité florentine. Il n'a été retiré du logo que les années où la Fiorentina a été championne d'Italie, en 1956 et 1969.
Quant à la couleur mauve, elle a été portée pour la première fois le 22 septembre 1929, trois ans après que le club ait été créé. Avant cela, les tenues reprenaient les couleurs de la ville. L'origine de ce changement serait dû à un accident, le rouge et blanc ayant déteints au moment du lavage. Depuis, l'équipe est surnommée la "viola".


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Le logo de Liverpool

Le cormoran dessiné au centre du logo s'appelle Liver bird, c'est l'emblème de Liverpool. Il fait partie des armoiries de la ville depuis 1797.
Au dessus du blason sont reproduites les Shankly Gates. Ce sont les célèbres grilles du stade d'Anfield Road, construites en 1982 à la mémoire de l'ancien manager des Reds, Bill Shankly. "You'll Never Walk Alone", l'hymne du club, est inscrit aux portes du stade comme sur le logo.
Les deux flammes sont une allusion au mémorial d'Hillsborough, installé devant les Shankly Gates en hommage aux supporters de Liverpool morts dans le stade de Sheffield le 15 avril 1989. Quelque 2 000 supporters avaient tenté d'entrer en force dans l'enceinte d'Hillsborough pour assister à la demi-finale de la Coupe d'Angleterre entre Liverpool et Nottingham Forest. 96 fans des Reds ont péri, écrasés ou étouffés contre les grilles.


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Le logo de Valence

Le FC Valence emprunte tous les éléments de son logo au blason de la ville, en y intégrant le ballon de foot au centre. Les couleurs sang et or sont celles de l'écu de la Communauté valencienne.
La présence de la chauve-souris est tirée d'une légende accompagnant la "Reconquista" de Valence en 1238. Alors qu'il est aux portes de la ville, Jacques Ier d'Aragon aperçoit une chauve-souris se poser en haut de son drapeau. Il y voit un signe de bon augure et pénètre dans la cité valencienne, qu'il récupère. En 1503, la chauve-souris remplace le dragon ailé sur le drapeau de Valence.


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Le logo de Barcelone

Pendant ses 11 premières années d'existence, le Barça n'avait pas de logo propre. A la place, il utilisait les armes de la ville : la croix de San Jordi (le saint patron de la Catalogne, martyr chrétien) et le drapeau catalan. En 1910, le club organise un concours afin de se doter d'un logo personnalisé. Carles Comamala, étudiant en médecine et ancien joueur du Barça, dessine celui qui sera finalement retenu. Les couleurs bleu et mauve ("blaugrana") sont ajoutées.
Pendant la guerre civile espagnole, le président du Barça, Josep Sunyol, est fusillé à cause de ses idées autonomistes. Franco fait disparaître les signes d'appartenance régionale sur le logo. Le sigle du Football Club de Barcelone (FCB en catalan) devient CFB (appelation espagnole). Sur la reproduction du drapeau catalan, 2 des barres rouges sont supprimées, enlevant toute identité régionale à ce symbole. Les 4 bandes ne seront redessinées qu'en 1949, à l'occasion des 50 ans du club.


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Le logo de Chelsea

» 1905 : Sur le premier logo est dessiné le portrait d'un "Chelsea pensioner", ces anciens soldats anglais résidant dans le Royal Hospital. Avant d'être surnommés les "Blues", les joueurs de Chelsea étaient les "Pensioners".
» 1953 : Le lion bleu apparaît sur le logo, en référence aux armoiries du quartier de Chelsea, à Londres. Il tient une crosse entre ses pattes, comme celle utilisée par les abbés de Westminster. Le logo est brodé sur le maillot de Chelsea pour la première fois.
» 1986 : Changement de peau pour le lion, qui passe du bleu au jaune, et qui perd son attribut. L'animal est dessiné avec des traits plus réalistes. Le sigle CFC apparaît en grosses lettres.
» 2005 : A l'occasion du centenaire du club, le logo reprend la forme qui était la sienne en 1955, date du premier titre de champion d'Angleterre de Chelsea.


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Le logo de Portsmouth

La logo de Portsmouth est surnommé "The smiley crest", le blason souriant. L'étoile et le croissant, symboles traditionnels de l'islam, renvoient ici à Richard Cœur de Lion. La ville de Portsmouth aurait adopté les armes du roi d'Angleterre pour le remercier des faveurs octroyées à la ville.
On ne sait pas exactement pourquoi le roi Richard a fait siens l'étoile et le croissant. Deux explications sont avancées : soit c'est en souvenir de sa croisade en Palestine, soit c'est un jeu de mots en rapport avec l'étoile Régulus, dont le surnom est "le cœur du roi".
Portsmouth FC a par moment remplacé l'étoile et le croissant par une ancre (représentant la marine) et une épée (l'armée), mais la grogne des supporters l'a incité à chaque fois à revenir au blason originel.